Aimer un peu, beaucoup, passionnément, à la folie…et en mourir ? Comment expliquer cette dépendance irraisonnée, cet aveuglement pathétique du point de vue sociologique, philosophique et psychanalytique ? La fin tragique ne relève-t-elle donc pas du monde romanesque ? Des Roméo et Juliette, des Carmen, des Anna Karénine et des Emma Bovary risquent-ils de nous côtoyer dans la vraie vie ? Passion, addiction, déraison… peut-on encore mourir d'amour aujourd'hui ?Avec Patrick Pharo, chercheur en

Facilité de nouvelles rencontres, phobie de l'engagement, priorité à la carrière et au développement personnel, si le modèle conjugal demeure une norme, il se transforme au fil des années. La vie à deux s'inscrit de moins en moins dans une perspective à long terme et les couples résistent mal aux premières années. Le nombre de célibataires augmente. L'engagement dans une vie de couple n'est-il plus compatible avec nos exigences de réalisation personnelle ? Comment l'évolution de nos modes de vie

Hyper-communicants et ultra-connectés, nous invitons désormais Internet à gérer notre vie sociale. Mais notre identité numérique est-elle très différente de notre personnalité dans la vie réelle ? L'outil web change-t-il vraiment notre façon de vivre une relation ? Les applications de dating et les sites de rencontre sont-ils un refuge pour les timides et les désespérés, un oasis pour les aventuriers ou simplement la solution de demain ? Et qu'attendons-nous de ce nouveau type de rencontres : un

Table ronde du 18 mai à l'Auditorium du Grand palais en partenariat avec le Mona Bismarck American Center for Art and Culture.Avec Ruth Berson, Deputy Director of Curatorial Affairs at the San Francisco Museum of Modern Art, Florence et Daniel Guerlain, collectionneurs, créateurs d'une Fondation d'art contemporain et du Prix du dessin contemporain, Alfred Pacquement, directeur du musée national d'Art moderne de 2000 à 2014. Discussion modérée par Arnaud Laporte, animateur-producteur à France

Conférence animé par Laurent Salomé, directeur scientifique de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux Grand Palais. Cette conférence a eu lieu le mercredi 8 avril à l'Auditorium du Grand Palais

« J'ai interviewé Truman Capote pendant que Robert Mapplethorpe nous photographiait… »Romancier, biographe et critique littéraire américain, Edmund White est un acteur et témoin incontournable de la scène artistique newyorkaise ainsi qu'un chroniqueur engagé des combats de la cause gay. Ce francophile averti (auteur de biographies de Proust et Genet) a bien connu l'homme comme le photographe Robert Mapplethorpe.

Dans le cadre des conférences les Lundis du Grand Palais, découvrez la thématique du Cycle Sport :- Le foot : un monde de gagnant ?

Dans le cadre des conférences les Lundis du Grand Palais, découvrez la thématique du Cycle Sport : - Le cyclisme, toute une histoire ?

Dans le cadre des conférences les Lundis du Grand Palais, découvrez la thématique du Cycle Sport : - Le sport : fabrique des héros modernes ?

Retrouvez la table ronde tenue à l'occasion de Monumenta 2014, l'Etrange Cité d'Ilya et Emilia Kabakov.

Retrouvez la table ronde tenue à l'occasion de Monumenta 2014, l'Etrange Cité d'Ilya et Emilia Kabakov.

Off the record interview with Al Gallico, [1986-1988?]-02-13

Conférence par Félix Krämer, conservateur au Städel Museum - Francfort-sur-le-Main.«Qu'est-ce que l'homme a donc fait de si grave qu'il lui faille subir cette terrifiante "associée" qu'est la femme?» écrit Félix Vallotton dans son journal en 1918. Cette conférence veut mettre l'accent sur la tension entre les sexes qui, entre humour noir et sarcasme, hante l'œuvre de Vallotton. Au fil du temps, la conviction que la femme joue un rôle social nocif ne cessera de s'accroître en lui, le poussant même

Valloton : L'amertume sublimée Conférence par Juan David Nasio, psychiatre et psychanalyste. Ce qui nous intéresse chez Vallotton n'est pas tant la haute qualité esthétique de son œuvre que l'acte de création de l'œuvre. Ce qui nous intéresse n'est pas tant la beauté que la production de la beauté. Chez Vallotton, l'acte créateur de beauté n'est pas seulement un acte maîtrisé, il est aussi et surtout l'acte d'un artiste qui, sans le savoir, projette sur la toile son amertume inconsciente et la

Une palette sans tache – les couleurs «lisses, pleines et glacées» de Félix Vallotton Conférence par Michel Pastoureau, historien, directeur à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes. Grand coloriste, Vallotton ne se soucie guère des «lois» de la vision et de l'harmonie des couleurs. Graveur de talent, il applique souvent à la couleur des procédés relevant davantage de la gravure que de la peinture. Par ailleurs, un «sentiment héraldique» semble traverser la palette de cet artiste né en suisse, pays

Conférence par Isabelle Cahn, conservateur au musée d'Orsay, Marina Ducrey et Katia Poletti, conservateurs de la Fondation Félix Vallotton à Lausanne, toutes trois commissaires de l'exposition. Par ce titre ambivalent, l'exposition met en avant la complexité d'un artiste à cheval entre deux siècles et entre deux pays, la suisse et la France. Quelques clefs pour appréhender son œuvre, en comprendre les enjeux et les thèmes, la situer dans la création contemporaine, montrer ses tensions entre

Table ronde : avec Marjane Satrapi, Grégoire Solotareff, tous deux auteurs et illustrateurs, Katia Poletti, co-commissaire de l'exposition et Jean-Paul Morel, commissaire de l'exposition Vallotton et le dessin de presse. Emploi strict du noir et blanc, trait cinglant, humour grinçant : la modernité des gravures et des dessins de presse de Vallotton est une référence pour de nombreux créateurs d'images contemporains.

Témoignage d'une identité qui s'est forgée au fil des décennies, 600 pièces parmi les plus emblématiques de la Collection Cartier sont exposées au Grand palais. Accompagnées de documents d'archives, de robes, de tableaux et d'illustrations diverses, ces œuvres d'art à part entière sont éclairées par le contexte de leur création. l'exposition ouvre ainsi la porte d'un extraordinaire laboratoire de formes.

Conférence par Wilfried Zeisler, docteur en histoire de l'art.1899 : Cartier s'installe rue de la paix où fleurissent de nombreuses maisons de luxe. Perpétuant un savoir-faire traditionnel, les créateurs implantés dans ce quartier en font le centre mondial du luxe. Les aristocraties européennes et la grande bourgeoisie du commerce et de l'industrie forment la clientèle cosmopolite du luxe parisien. La multiplication des innovations techniques et stylistiques, favorisant le développement du «luxe

Georges Braque et Pablo Picasso, Dialogue du Singulier et du collectifConférence par Ariane Coulondre, conservateur, chef du service des collections au Centre Pompidou. De leur rencontre à Montmartre en 1907 à la rupture brutale de la mobilisation en 1914, se développe entre Braque et Picasso une complicité artistique et amicale exceptionnelle. Moment fondateur de l'art moderne, le dialogue créatif des principaux inventeurs du cubisme, pose à partir d'innovations individuelles les bases d'un style