C"est encore mieux en le disant !

La prise de parole, le choix des mots est important !Où l’on comprend comment qu’on fait !L’appui majeur du travail, c’est le choix des mots… Choisir consciemment ses mots, c’est choisir ce qu’on décide d’incarner. C’est refuser d’être le relais d’un discours appris, d’une norme ou d’une peur. C’est devenir responsable de sa parole, et donc de sa liberté et l'incarner.On va le comprendre en convoquant Roland Barthes et Jacques Lacan et en prenant pour exemple un extrait du plaidoyer de Simone Veil

La prise de parole, une émancipation !Où l’on comprend le potentiel de l’apprentissage à la prise de parole.Travailler sa prise de parole, ça peut rester un simple exercice formel — joli, bien articulé, mais sans grande saveur —ou devenir une réelle opportunité de prendre de l’envergure, une possibilité d’un travail sur l’altérité, un apprentissage de la citoyenneté, une responsabilité politique… ah bon ?! Extraits :Discours de Charlie Chaplin (1940), Le Dictateur © Roy Export S.A.S.Leçon inaugurale

La prise de parole : un réel trauma !Où l’on comprend mieux l’hypothèse d’un réel trauma de développement qui a une incidence dommageable sur la qualité de nos prises de parole et la qualité de nos débats.Rythme cardiaque qui s’accélère, sueurs, tremblements, diaphragme qui se bloque, yeux figés comme un lapin pris dans les phares d’une voiture… ne sont-ce pas les signes d’un stress post-traumatique ? Merci à : Michel Schittecatte et Isabelle Kühn de Chizelle.Merci à mes interviewés, rencontrés en

La prise de parole : un rapport de force, en fait !Où l’on comprend que prendre la parole, ce n’est jamais neutre. C’est toujours exprimer, consciemment ou non, une position sociale et un rapport de force.Où l’on comprend que nous avons toutes et tous intériorisés un rapport de domination, violence faite à notre expression qui conditionne nos prises de parole et notre rapport à l’autre. Merci à mes interviewés : Rose, Violette, Manu, Emmanuelle, Caroline et Alice, Anna et Louise, Christina, Rita,

La prise de parole : ça fait peur quand même !Où l’on comprend l’ampleur de la peur de prendre la parole en public. Cette peur n’est pas faite que de trac et n’est pas facile à dépasser. Les « il faut, y’a qu’à, on doit» du coach pour inviter à relativiser, à accepter de ne pas être parfait, à rester détendu, à être authentique… Ce n’est pas si simple. Vous allez entendre Rose, écolière, Violette, collégienne, Manu, comédien, Emmanuelle, psy et prof de philo, Caroline et Alice, étudiantes, Anna et

Dans cette première série en 5 épisodes, je vous embarque dans une recherche documentaire sur la peur de la prise de parole.Une étude dit que 75% de la population mondiale souffrirait de glossophobie : la peur de la prise de parole en public. Elle serait la deuxième peur après la peur de la mort ! Énorme n’est-ce pas ?On pourrait se dire que cette peur à l’oral ne concerne que les personnes timides. Je constate que le stress, la peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être légitime, concernent

Et si une parole sensible, poétique, empathique, soucieuse de l’autre… devenait une nouvelle référence en matière d’autorité ?Et si une autre manière de parler pouvait, en somme, prendre le pouvoir ?Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans ce podcast : "C’est encore mieux en le disant !"Je m’appelle Marjorie Hébrard. Je suis formatrice en prise de parole, psychosociologue et comédienne.Avec ce podcast, j’ai un projet : nous inviter à mieux comprendre notre rapport à la parole, proposer des